Histoire de chambr...ière

Ton petit bout arrondi me fait rêver ... C'est un fait, et tes courbes n'en sont pas moins obsédantes depuis quelques temps. Oui vraiment, te renverser frénétiquement pour m'enfiler du bon temps, voila finalement ce qui provoque en moi le frisson jusqu'au tréfonds de l'épine dorsale. Pourtant, ta coefficient de pénétration n'est plus à remettre en doute et ta forme naturellement évasée en bas me laisse deviner toute la rigidité dont tu sais être capable, pour tenir sur tes appuis malgré les secousses ou les soubresauts. Parce qu'en fait oui, tu pourrais être sexuellement très explicite, je pense même qu'il n'est pas rare que d'autres que moi y pensent [voire davantage].

Deux petites veines bien rouges trompent l'homogénéité de ta surface immaculée ... tiens, rien que ce mot provoque chez moi un rictus quand je mets en perspective tout ce que tu m'évoques.

Oh bien sur, aller te chercher avec les doigts n'est pas insurmontable et t'empoigner vigoureusement, virilement avec la détermination de profiter de tes promesses et des désirs que j'ai pu coller dessus devient quasiment pornographique. Oh oui, tellement pornographique que les âmes sensibles ne sauraient trouver dans la braise de mes yeux la moindre accalmie ou un signe d'une tempérance rassérénante. Au contraire, c'est d'un déluge de feu qu'il est question, un tsunami qui balaye tout sur son passage, une avalanche qui provoquera notamment l'irruption de ce soupir venant de si loin, cette jouissance à nulle autre pareille : celle de mes entrailles flattées et assouvies de la faim que tu leur inspires.

Foncièrement, te renverser est une urgence qui me consume de l'intérieur. Te faire tomber de ton pied d'estale d'où ta longue et belle rigidité en impose devient obsessionnel ... comme l'envie de te caresser voluptueusement pour te remercier de te dresser ainsi devant moi. Faut avouer, c'est flatteur.
Mais oui, je veux te bousculer, te pencher, te chahuter, ... te culbuter ! Il n'est de si puissante envie que celle-ci qui m'anime présentement parce qu'elle sonne le glas d'une attente interminable qui aura vu monter en moi le désir à mesure que je m'approchais de toi, obstinément.

Tu es un symbole, l'exutoire de ce vers quoi je tends ... tu es la quille !

Tto, qui dialogue même très sensuellement avec une quille