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une vie de tto
20 février 2007

Les quatre glorieux

Rassurez-vous : j'ai survécu à mon week-end de la mort qui tue totalement et mortellement. Ben si, c'est ça d'être une star et un héros à la fois [pour ceux que cela intéresse ... je donne des cours].

Toutefois, sachez une chose : cela n'a pas été simple, aisé et cela a même confiné, dans certains cas, à la lutte finale. [Je vous entends déjà raler ... ouais, y en a marre de ce teasing insupportable ... crache la ta Valda ...On veut savoir, on veut savoir ...]

Ah la la, chers lecteurs et chères lecteuses ... décidément, je suis faible et sans défense avec vous.

Vendredi soir, j'avais rendez-vous vers 20h30 et, comme c'était un départ en vacances, j'avais anticipé le coup en me disant "Tu vas t'ennerver, tous ces nazes qui vont partir vont bloquer les routes ..." bref, j'étais en position warrior de la route lrosque j'ai constaté qu'à l'heure avancée de mon départ de mon bureau, il n'y avait plus personne ... je suis même arrivé un quart d'heure plus tôt !!! Top génial !! Bref, excellente soirée mais dodo pour tto vers 01h40 ... en vrac, oui, là je ne ressemblais déjà plus à rien et je tiens à vous le dire : il faut que je trouve un autre anti-cernes ... le mien ne marche plus !! Trop pas assez puissant.

Samedi matin, réveil à 7h40 pour arriver au fin fond de l'Essonne à 9h pétantes pour entamer l'opération de déménagitude qui était au programme. Bon le réveil, je ne vous fais pas un dessin, une horreur. Dans la voiture, il n'y a guère que la chanson des Popples, d'Ulysse 31 et du Secret des Sélénites qui a réussi à me maintenir éveillé ... Arrivé chez Jé et Del [cet anonymat, c'est presque impressionnant ...], on a commencé rapido costo parce qu'en plus on était 5 gaillards forts et beaux comme des dieux ... donc rien ne pouvait nous résister ... sauf le piano. Ben oui, Jé avait décidé de nous faire des blagues : il a fallu démonter la rampe de l'escalier pour sortir le sommier, le barbecue en briques qui était pas scellé au sol [je maintiens, un immeuble par destination ... je persiste !] mais qui l'était quand même ... on se l'ai pris, le traditionnel meuble télé [vous savez le truc facile à démonter mais hard-core à remonter puisqu'il n'y a plus la notice de montage] ... et le piano : intransportable, inbougeable et surtout hyper trop risqué !! Comme je n'ai pas arrêté de le dire ... on ne peut pas faire le bonheur des gens contre eux-même ... nous avons, par notre refus collectif, sauvé le piano de Del qui arrivera bien un jour tout entier dans la nouvelle maison alors nous ... on y serait peut-être arrivé mais par pièces détachées. Décidément, ce Jé avait trop d'ambition et nous croyait trop fort ... quel flatteur celui-là !

J'ai revenu à ma maison vers 19h puisque j'avais une soirée anniversaire ... celle de Michel Drucker ... Je craignais le pire s'agissant de trouver le lieu où ça allait se dérouler ... oh la la, j'ai trouvé pratiquement sans me tromper ... allez j'ose le dire : je me suis trompé que sur une seule petite rue de m*****. Résultat : hyper à l'heure. Attendu à 21h, j'étais là-bas à 20h45. Bon, faut que je vous dise que j'étais un peu une crampe vivante tellement mes muscles saillants avaient été sollicité par ce bourreau de Jé toute la journée [ce barbecue ... je m'en souviendrais quand même ...]. Résultat, un gin-fizz et ça repart ... j'étais en pleine forme. Sauf que ... ben oui, y a eu un problème ... Michel Drucker avait changé de coiffure ? [oui, mais je m'y attendais et vus les désastres capilaires auxquels elle m'a déjà habitué, c'était un peu moins pire que je ne le craignais] Je suis tombé devant tout le monde ruinant ainsi mon image de latin-lover [dans une pizzeria ... normal le latin-lover, mais non, c''est pas ça] ... Cessez de chercher : j'ai été victime d'une attaque sournoise. Un attentat, j'ose le dire .... [oui, les français ont le droit de le savoir ...] L'huile piquante de la pizza était piégée ... ce n'étaient plus des piments qui baignaient dedans mais des piments mutants avec une force décuplée qui m'en a fait pleurer, m'a fait perdre 12 kilos d'eau [qui a dit qu'au moins ça m'aura fait du bien ?? C'est dégueulasse de dire des trucs pareils ...], m'a donné l'impression d'être étendu tout nu sur la plage de Copacabana à 14h30 ... Une horreur, un cauchemar, un supplice ... Evidemment, je ne vous dis pas que j'y étais allé de bon coeur avec l'huile donc, les derniers morceaux ont été un vrai chemin de croix. Couché à 01h20 ... j'en pouvais plus, ma bouche était en feu [on se calme ... pas d'allusions grveuleuses ... je souffrais].

Dimanche matin, j'ai quand même un peu dormi et quel plaisir ... quel bonheur de me réveiller avec ces rayons de soleil ... vers 11h ! J'ai alors entamé ma nouvelle journée de marathon avec au programme : ménage, rangeage, speedage, bougeage, raclettage et écroulage [oui oui, tout ça dans l'ordre]. Sauf qu'en fin de matinée ... la bonne nouvelle qui fait du bien tout partout ! J'ai retrouvé mes photos au prix d'un hasard que je ne m'explique toujours pas ... Mais oui, mes photos, souvenez-vous, j'en parlais ici ... et ben là, j'ai tout récupéré ... je vais faire rapido costo une zolie sauvegarde et puis voila ... L'après-midi, frittage avec Môman : on ne se comprend pas sur certains sujets, cela en devient impressionnant !

Et puis le soir, retour chez Jé et Del pour le retour de beam-me up ... avec une raclette ! Bien rigolé, bien mangé et cette petite poire n'était décidément pas si forte [allez, un petit 70° peut-être ... ridicule !!!].

Hier ? [Ben oui, quatre glorieuses ... ça fait que trois jusqu'à présent] Ben, déjeuner hyper agréable avec quelqu'un de sympa et sans prise de tête [oh que j'aime ça ...]. En plus, mon petit doigt me dit qu'on va recommencer ça bientôt ... peut-être rentrera-t-on dans le vif de certains sujets ... je ne sais pas !

Donc, hier soir, en vrac le garçon ! Tout crevé, tout bousculé ... tout je n'en peux plus de ces quatre glorieux ... Pour la peine, j'ai regardé Ségolène ...

Tto, vidé

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Commentaires
N
Non mais faut arrêter de croire que les meubles en kit, ça se monte et se démonte à l'envi. Une fois monté, t'y touche plus sinon, tu niques tout, genre les chevilles en bois et tout ça. Déjà, à monter, c'est casse-c****es alors à remonter avec les trous qui sont déformés, les chevilles fendues ou arrachées, non.<br /> <br /> Et le piano... Ahahahahah!! :)
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